Algeria



USM Harrach : Nouvelle AG élective de la SSPA le 28 juin

L’Assemblée générale élective de la SSPA/USM El Harrach tenue le 6 juin dernier, qui avait vu l’élection de Mohamed Laïb comme président du conseil d’administration, a été officiellement annulée, et une nouvelle AG a été programmée pour la
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USM Harrach : Nouvelle AG élective de la SSPA le 28 juin

L’Assemblée générale élective de la SSPA/USM El Harrach tenue le 6 juin dernier, qui avait vu l’élection de Mohamed Laïb comme président du conseil d’administration, a été officiellement annulée, et une nouvelle AG a été programmée pour la semaine prochaine, plus précisément pour le 28 juin. Jugée illégale par les opposants du président du directoire de l’USMH, Mohamed Laïb, en raison de plusieurs entorses à la réglementation, notamment le fait que plusieurs actionnaires n’ont pas reçu de convocation pour assister aux travaux de l’assemblée, alors que d’autres l’ont reçue tardivement, le président du directoire, Mohamed Laïb, élu à la tête du Conseil d’administration, a été contraint d’annuler l’AGE du 6 juin et d’en convoquer une nouvelle, pour la semaine prochaine, après la menace de ses opposants de recourir à la justice. Reprenant son rôle de président du directoire, qu’il assure depuis l’hiver dernier, au lendemain de la destitution de l’ancien président Fayçal Bensemra, Mohamed Laïb a fait les choses dans les règles cette fois-ci, en envoyant les invitations à tous les actionnaires, 15 jours à l’avance, en prévision de l’AG de la SSPA, qui élira le nouveau conseil d’administration de la SSPA et son président. Une nouvelle AGE où Laïb n’aura pas les coudées franches, puisqu’il ne devrait pas être le seul candidat prétendant à la présidence du club, comme c’était le cas le 6 juin dernier, en présence des actionnaires opposants, notamment le groupe de l’ancien président, Abdelkader Manaâ. En effet, selon certaines indiscrétions, le groupe à Manaâ, ou plutôt les actionnaires proches de ce dernier ne comptent pas céder la présidence du club à l’actuel patron du directoire et candidat à la présidence de la SSPA, Mohamed Laïb. Toujours selon nos sources, Manaâ et les autres actionnaires qui s’opposent à la prise des commandes du club par Laïb, veulent présenter une autre alternative, en remettant sur le tapis la carte d’un homme d’affaires, qui veut investir à l’USMH et prendre les rênes du club. Il s’agirait d’Abdessamed Bouteldja, l’homme que les pro-Manaâ voulaient présenter comme leur candidat l’hiver dernier, avant que tout ne soit remis en cause. C’est dire que l’AGE du 28 juin prochain sera loin d’être une sinécure pour Mohamed Laïb, comme c’était le cas lors de l’AG du 6 juin dernier. Sur le plan technique, si Mohamed Laïb a déjà tranché la question de l’entraîneur, en désignant l’ex-coach de l’ASM Oran, Salem Laoufi, en remplacement d’Aziz Abbès, dont le contrat sera résilié incessamment, le président du directoire temporise pour officialiser avec le technicien, suite à l’annulation de l’AGE du 6 juin dernier, et la tenue d’une nouvelle Assemblée générale le 28 de ce mois. Cela dit, Laïb a déjà entamé l’opération recrutement, en engageant trois nouveaux joueurs, à savoir le défenseur Benamara (MC Oran) et les deux milieux de terrain El Hendi (GCM) et Benouis (ASM Oran), alors que l’ex-harrachi et actuel défenseur de l’O Médéa, Hamidi devrait faire son come-back. Pour ce qui est de l’effectif de la saison écoulée, Laïb a réussi à trouver un compromis avec onze joueurs et la résiliation de leur contrat, en contrepartie de deux salaires, évitant ainsi d’être épinglé par la CRL.

Mourad Barkat, le footballeur devenu recteur

Qui se souvient de Mourad Barkat, l’élégant défenseur et capitaine d’équipe du Mouloudia de Constantine (MOC), club au sein duquel il a réalisé l’essentiel de sa carrière. Mourad était destiné à une grande carrière de footballeur. Il a v
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Mourad Barkat, le footballeur devenu recteur

Qui se souvient de Mourad Barkat, l’élégant défenseur et capitaine d’équipe du Mouloudia de Constantine (MOC), club au sein duquel il a réalisé l’essentiel de sa carrière. Mourad était destiné à une grande carrière de footballeur. Il a vu le jour il y a 68 ans, le 20 juin 1950, à Didouche Mourad, dans la wilaya de Constantine. Il a effectué ses premiers pas de footballeur au sein du club de sa ville natale avant de rejoindre le MOC en 1969. Les recruteurs du grand club constantinois l’ont remarqué lors de matchs inter-lycées où il brillait au milieu de la défense du lycée Hihi El Mekki où il poursuivait ses études comme interne. Les dirigeants du MOC ont eu la main heureuse en lui faisant signer une licence. Son baptême du feu a eu lieu au stade du 20 Août contre l’OMR en division 2. Le MOC s’est imposé 2-0. La carrière de Mourad Barkat était lancée et elle ne s’arrêta qu’en 1979, en pleine réforme sportive, après deux saisons effectuées sous le maillot du CMC. C’est avec le MOC qu’il a vécu ses meilleures années de footballeur. A l’époque de son arrivée au Mouloudia, ce dernier jouait en Nationale Deux. Après deux saisons (1969-1970 et 1970-1971) dans l’anti-chambre de l’élite, le MOC accède enfin en Nationale Une à la grande joie de ses vieux supporters qui vécurent de bons moments lorsque leur Mouloudia faisait mordre la poussière aux grands clubs. C’était l’époque où Zefzef, le buteur maison, gagnait des matchs par ses traits de génie et ses talents de buteur. Avec les jeunes coéquipiers de sa génération qui avaient pour noms les frères Adlani, Benabdoune, Zoghmar, Khaine, Naidja, Gamouh, Fendi, Krokro…, Mourad Barkat s’est rapidement imposé comme le leader, le guide de cette flopée de talentueux footballeurs constantinois. Ce qui distinguait Mourad Barkat des autres défenseurs, c’est que lui était un adepte du beau jeu et du football spectaculaire. De sa position de dernier défenseur, il relançait le jeu très proprement. C’était une de ses principales caractéristiques. Sa forte personnalité a ensuite fait le reste. Sa correction et son fair-play vis-à-vis des arbitres et des joueurs adverses ont fait de lui un défenseur et un capitaine très respecté sur et en dehors du terrain. Il avait une caractéristique que les règles et lois du jeu actuelles ne tolèrent plus : jouer avec les bas tombant sur les chevilles et sans protège-tibia. Il ne commettait pas beaucoup de fautes lorsqu’il allait chercher le ballon dans les pieds de l’adversaire. Son second point fort, c’était sa détente aérienne. Elle était phénoménale. Peu de joueurs pouvaient lui prendre le ballon de la tête dans les duels aériens. Il a eu l’honneur de porter le maillot national à plusieurs reprises du temps où Rachid Mekhloufi était sélectionneur, dans les années 1970. Il a étrenné sa première sélection le 8 décembre 1971 contre Malte, à La Valette. Il avait tout juste 21 ans. Il a disputé son dernier match en équipe nationale contre la Turquie (0-4) en février 1973, sous la direction du duo Sellal-El Kenz. Mourad Barkat a pris part à deux rencontres des éliminatoires de la Coupe du monde Allemagne 1974. C’était contre la Guinée en aller-retour. Par ailleurs, il a fait partie de la sélection maghrébine qui a participé au tournoi international d’Alger organisé à l’occasion de l’inauguration du stade du 5 Juillet. Il avait 22 ans et a disputé comme titulaire les deux matchs, contre la sélection de Budapest et Palmeiras (Brésil). Il a tiré un trait sur sa carrière de footballeur à l’âge de 29 ans à l’heure où les footballeurs atteignent la maturité. Il a fait un choix qu’il n’a pas regretté. Il a terminé sa carrière professionnelle (pas de footballeur) comme recteur de l’université de Biskra. L’intellectuel du football a fini par donner une autre orientation à sa carrière. Il ne l’a pas regretté. Surtout avec ce qui se passe aujourd’hui dans et autour du football.

beIN «réagit» aux chaînes allemandes

Le groupe qatari beIN Sport a retransmis, avant-hier et en direct, la rencontre Tunisie – Angleterre (Groupe G) en clair. Ce bouquet satellitaire, détenant l’exclusivité de la retransmission des grands événements footballistiques pour la région ME
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beIN «réagit» aux chaînes allemandes

Le groupe qatari beIN Sport a retransmis, avant-hier et en direct, la rencontre Tunisie – Angleterre (Groupe G) en clair. Ce bouquet satellitaire, détenant l’exclusivité de la retransmission des grands événements footballistiques pour la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) depuis plusieurs années déjà, a décidé de retransmettre en clair 22 matchs de ce Mondial russe. Il s’agit des matchs des quatre pays arabes participant à cette Coupe du monde, en l’occurrence l’Egypte, l’Arabie Saoudite, le Maroc et la Tunisie, ainsi que des matchs des huitièmes, quarts, demi-finales et finale. L’initiative de beIN Sport survient dans un contexte marqué par un large sentiment d’injustice que partagent les amoureux de la balle ronde dans cette région, dans plusieurs cas privés des images des matchs de leurs sélections. Les autorités égyptiennes ont carrément engagé un bras de fer avec le groupe qatari. C’est le cas aussi de l’Arabie Saoudite, notamment depuis la «crise du Golfe», déclenchée l’année passée, qui l’oppose au Qatar. Quelques jours seulement avant le début du Mondial, beIN Sport a porté plainte auprès de la Fifa au sujet de l’Arabie Saoudite qui, d’après le groupe qatari, permet la diffusion sur Arabsat, un satellite qu’elle détient à hauteur de 80%, d’un bouquet satellitaire pirate «beOut Q», qui détourne le logo et les images de beIN Sport et les diffuse gratuitement. D’ailleurs, pour beaucoup, il y a fort à parier que la décision de l’ancienne Al Jazeera Sport de diffuser en clair 22 matchs est mue par une volonté de réagir à ce piratage. Dès lors que les images seront de toute façon disponibles, autant que ce soit lui le diffuseur. De plus, beaucoup d’amoureux de la balle ronde, notamment en Afrique du Nord – c’est le cas en tout cas de l’Algérie – se sont orientés vers les chaînes allemandes ZDF, Das Erste et ARD One qui diffusent gratuitement, sur le satellite Astra, l’intégralité des matchs du Mondial. Il y en a d’autres qui ont opté pour la chaîne suisse TSR sur le satellite Hotbird. Tout cela pour dire que les «footeux» ont trouvé des solutions de rechange face au «monopole» de beIN Sport. Il faut dire que les droits de retransmission sont devenus extrêmement chers depuis que le groupe qatari a réussi à asseoir sa mainmise dessus. Celui-ci préfère surtout vendre ses décodeurs au lieu de céder les images aux chaînes de télévision de la région (une offre spéciale Coupe du monde est proposée aux Algériens contre 18 000 dinars). Face à l’intransigeance de beIN Sport, l’EPTV a même dû pirater un match des Verts en 2013 (Burkina Faso – Algérie). La télévision algérienne avait évoqué «le droit des téléspectateurs algériens de voir évoluer son équipe nationale en dehors de son territoire». Il faut noter, en dernier lieu, que le groupe qatari a signé un contrat avec la Fifa pour les droits de retransmission des coupes du monde depuis 2009. En 2011, le bail avait été prolongé pour toucher les Mondiaux 2018 et 2022. «Le contrat conclu avec cette chaîne de télévision basée au Qatar concerne la retransmission des compétitions par câble, satellite, télévision hertzienne, téléphonie mobile et Internet haut débit dans vingt-trois territoires et pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord», avait indiqué la Fifa. Une «exclusivité» qui ne laissait place à aucun autre moyen «légal» pour les gens de la région Mena de regarder un match de la Coupe du monde sans passer par beIN Sport. «Par ailleurs, Al Jazeera Sport (actuellement beIN Sport) s’est engagée auprès de la FIFA pour que les matches de la Coupe du Monde de la FIFA 2022 soient accessibles au plus grand nombre à travers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord», avait ajouté l’instance footballistique internationale. En d’autres termes, il faut attendre jusqu’à ce qu’une coupe du monde soit organisée dans un pays de la région pour que soit assurée une «large» diffusion. Sinon, les «footeux» devront toujours compter sur la «générosité» des Allemands et des Suisses.  

La JS Kabylie toujours sans entraîneur

La direction de la JS Kabylie, sous la conduite de son président Chérif Mellal, peine à dénicher un entraîneur pour l’équipe, plus d’un mois après la fin de l’exercice écoulé et à deux jours seulement de la reprise des entraînements programm
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La JS Kabylie toujours sans entraîneur

La direction de la JS Kabylie, sous la conduite de son président Chérif Mellal, peine à dénicher un entraîneur pour l’équipe, plus d’un mois après la fin de l’exercice écoulé et à deux jours seulement de la reprise des entraînements programmée pour ce mercredi. Pourtant, la direction de la JSK était sur deux pistes sérieuses, avant de subir un véritable flop face au refus des deux techniciens ciblés, dont l’un avait été annoncé, la semaine dernière, par Chérif Mellal, comme quasiment le nouvel entraîneur de la JSK. En effet, Djamel Menad, l’actuel coach adjoint de la sélection, et le Français Denis Lavagne, qui exerce comme directeur sportif au sein du Havre AC (Ligue 2 – France), ont tous les deux décliné les offres du président de la JSK en raison de leurs engagements. Un refus qui met la direction de la JSK dans l’embarras, au moment où la reprise est fixée pour ce mercredi. L’équipe devrait être dirigée par les deux adjoints de l’ex-entraîneur Youcef Bouzidi, à savoir Slimane Rahou et Mourad Karouf. Les deux techniciens auront ainsi la charge d’entamer la préparation d’intersaison, en attendant que Mellal désigne enfin un entraîneur. Il faut dire que le boss de la JSK a multiplié les annonces depuis un mois quant à la venue imminente d’un «grand entraîneur», sans pour autant concrétiser, laissant les supporters des Canaris sur leur faim. Un dossier qui devra être réglé au plus vite, selon certaines sources au sein de la direction kabyle, qui évoquent de nouvelles pistes d’entraîneurs, en précisant qu’il s’agirait de Français. Sur un autre registre, la direction de la JSK qui a jusqu’ici engagé neuf nouveaux joueurs, devrait bientôt clore l’opération avec l’arrivée de trois à quatre nouveaux éléments tout au plus, avec notamment un attaquant africain, plus précisément un Burundais répondant au nom de Abdurazak Fiston, qui joue en Irak, dont la venue est prévue cette semaine, au moment où la piste de l’attaquant nigérian serait sur le point d’être abandonnée en raison d’un différend. Outre la piste africaine, Chérif Mellal veut toujours les deux joueurs du Paradou AC, El Mouadhen et Meziani. Un dernier roud de négociations était d’ailleurs prévu hier soir, avec le président du PAC. Le dernier élément ciblé est l’attaquant du MO Béjaia, Belkacemi, avec lequel le responsable de la commission recrutement, Karim Doudane, est toujours en discussions. Ce dernier devait en outre rencontrer le capitaine Essaïd Belkalem en vue de revoir les termes du contrat que l’ex-international avait paraphé l’hiver dernier, et envisager une baisse de salaire et son maintien dans l’effectif kabyle.  

AG élective de la LFP : Baghdadi crie au complot

Le candidat au bureau exécutif de la Ligue de football professionnel (LFP), Nacereddine Baghdadi, crie au complot de la part du président de la FAF, Kheireddine Zetchi, qu’il accuse ouvertement d’être derrière le rejet de son dossier de candidature pa
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AG élective de la LFP : Baghdadi crie au complot

Le candidat au bureau exécutif de la Ligue de football professionnel (LFP), Nacereddine Baghdadi, crie au complot de la part du président de la FAF, Kheireddine Zetchi, qu’il accuse ouvertement d’être derrière le rejet de son dossier de candidature par le président de la Commission de candidature Lafri. «Vous avez peur de Baghdadi car je suis un véritable acteur au service du football. Ma présence au sein du Bureau exécutif de la LFP dérange». Comment cela s’est-il passé ? Baghdadi relate les faits : «J’ai déposé ma candidature le dernier jour dans le but d’apporter mon expérience au football national. Au départ, j’ai eu deux mandatements : un pour le poste de président et l’autre pour le bureau exécutif. Le président de la Commission de candidature, Lafri, m’a conseillé de me présenter au Bureau exécutif. C’est ce que j’ai fait. Il m’appelle par la suite pour me dire que mon dossier est accepté et que je dois juste le compléter par une attestation de travail que j’avais pourtant fournie au préalable. Il est venu tout de même chez moi pour récupérer l’attestation de travail. Il me contacte plus tard pour m’informer que ma candidature est inéligible car je ne remplis pas les critères énoncés dans l’article 21 qui stipule que je dois avoir exercé au préalable au moins 3 ans à l’USMH. Je lui ai fait savoir que j’ai exercé de 2011 à 2017 comme commissaire au match et qu’il peut vérifier tout cela auprès du département finances de la LFP». Après tout ce parcours infernal, ma candidature est enfin validée et c’est M. Lafri lui-même qui m’en a informé. «Mais à la surprise générale, j’apprends par la suite que ma candidature est rejetée et que le PV a été changé par une fonctionnaire de la LFP sur instruction du président de la FAF, Kheireddine Zetchi, via le président de la commission, Lafri», a-t-il poursuivi. Avez-vous des preuves que c’est le président de la FAF qui est derrière le rejet de votre candidature ? Nacereddine Baghdadi n’y va pas par trente-six chemins : «Cela ne peut être que Zetchi et je défie M. Lafri d’apporter des preuves qu’il n’a pas reçu des ordres. Zetchi a peur de moi car ma présence au sein du Bureau exécutif le dérange. Moi je suis un véritable militant du football et je veux changer les choses. Au sein du bureau de la FAF, il y a des membres qui n’ont même pas un an d’exercice et je défie Zetchi de prouver le contraire.» Baghdadi estime que cet acte est immoral et contraire aux lois et règlements régissant le renouvellement des institutions sportives.

USM Alger : Reprise des entraînements

C’est hier que l’USM Alger a repris les entraînements, sous la conduite de son nouveau coach, le Français  Thierry Froger qui a été présenté aux joueurs le même jour. I l s’agissait beaucoup plus d’une prise de contact. Les membres du staf
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USM Alger : Reprise des entraînements

C’est hier que l’USM Alger a repris les entraînements, sous la conduite de son nouveau coach, le Français  Thierry Froger qui a été présenté aux joueurs le même jour. I l s’agissait beaucoup plus d’une prise de contact. Les membres du staff ont également expliqué à leurs éléments le programme de la préparation estivale et les objectifs qui leur ont été assignés pour la nouvelle saison. Les nouvelles recrues du club, Mezghrani, Emery, Bentiba, Mahious, Benchaa, étaient également présentes, hier, au stade Omar Hamadi de Bologhine, pour prendre part à la première séance d’entraînement. Même l’attaquant zimbabwéen Charlton Mashumba, qui devrait signer son contrat aujourd’hui, était aussi de la partie. Agé de 25 ans, celui-ci évoluait jusque-là au club de Blackburn Rovers, de la deuxième division sud-africaine. Cette reprise des entraînements était fort attendue par les supporters qui ont commencé à émettre des doutes au sujet des multiples reports. Fixée initialement pour le 5 juin, la reprise a été dans un premier temps décalée de trois jours (8 juin), avant qu’elle ne soit carrément fixée pour le 11 juin sous les conseils de l’entraîneur Mesa Bazdarevic, selon Serrar, avec lequel le club avait trouvé un accord avant que le Bosnien ne se rétracte. Finalement la direction a décidé de ne reprendre les entraînements qu’après les fêtes de l’Aïd, ce qui s’est fait hier. Le directeur général du club, Abdelhakim Serrar, a subi donc une véritable pression, notamment au sujet du recrutement de l’entraîneur. Après plusieurs options (Badou Zaki et Bazdarevic), Serrar a finalement jeté son dévolu sur Thierry Froger. Ce dernier avait exercé pendant un mois au TP Mazembe (RD Congo) entre mars et avril 2017. Il avait été limogé après l’élimination du club de la Ligue des champions d’Afrique. Auparavant, le technicien français avait été sélectionneur du Togo (pendant neuf mois). Il a également entraîné plusieurs clubs de la Ligue 2 française et du «National» (3e division). A noter, en dernier lieu, que l’USMA va fort probablement libérer son attaquant marocain Reda Hajhoudj dont le parcours avec le club a été plutôt décevant. A rappeler aussi que les Rouge et Noir effectueront un stage en Tunisie du 24 juin au 4 juillet, avant de se déplacer vers le Kenya pour un second regroupement du 7 au 16 juillet. L’USMA jouera, le 18 juillet, à Kigali, face au Rayons Sport le troisième match de la phase de poules de la Coupe de la CAF. Après deux journées, le représentant algérien est leader du groupe D, avec 4 points.  

LFP : Repêchage de deux candidatures pour le bureau

La commission électorale de la Ligue de football professionnel (LFP) a rendu publique, il y a deux jours, la liste définitive des candidats à l’élection du président et des membres du bureau exécutif de la Ligue. A cet effet, quatre candidatures on
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LFP : Repêchage de deux candidatures pour le bureau

La commission électorale de la Ligue de football professionnel (LFP) a rendu publique, il y a deux jours, la liste définitive des candidats à l’élection du président et des membres du bureau exécutif de la Ligue. A cet effet, quatre candidatures ont été validées pour la présidence. Il s’agit toujours de celles de Mohamed El-Morro (ASM Oran), Azzedine Arab (ES Sétif), Abdelkrim Medouar (ASO Chlef) et Mourad Lahlou (NA Hussein-Dey). Celle de Noureddine Bouchoul de la JSM Skikda, rejetée par la commission de candidature en application de l’alinéa a de l’article 36.1 des statuts (membre de l’AG), n’a pas été repêchée. Les choses ont changé par contre pour ce qui est des candidats pour le bureau. La commission de candidatures avait rejeté trois dossiers, en l’occurrence ceux de Mourad Benlakhadar (JSS), Nacereddine Baghdadi (USMH) et Farouk Belguidoum (RCK). Benlakhadar et Belguidoum ne sont pas membres de l’AG (alinéa a de l’article 36.1 des statuts), selon le communiqué de la commission, alors que Baghdadi n’a pas «exercé des responsabilités dans des institutions ou associations du football pendant au moins cinq années consécutives» (alinéa h du même article). Finalement, la commission de recours, qui a traité les requêtes qui avaient été déposées auprès d’elle les 13 et 14 juin, a fini par valider les dossiers de Benlakhadar et Belguidoum. Seule donc la candidature de Baghdadi a été rejetée de cette élection, en plus de celle de Bouchoul pour la présidence. Il faut rappeler en dernier lieu que l’élection de la Ligue aura lieu le 21 juin prochain au Centre technique national de Sidi Moussa. Une AG constitutive de la LFP, à laquelle avaient pris part 27 présidents de clubs des Ligues 1 et 2, avait eu lieu le 29 mai dernier au siège de la FAF. Cette dernière avait procédé, en janvier dernier, au retrait de la délégation de gestion du championnat professionnel à la LFP, dirigée jusque-là par Mahfoud Kerbadj, ce qui avait provoqué automatiquement la dissolution de ses structures dirigeantes.

FAF-Madjer : Un tête-à- tête dans les prochaines heures

Le dossier Madjer est toujours en stand-by au niveau de la Fédération algérienne de football (FAF). Les deux parties s’observent et attendent. Le sélectionneur national ne veut prendre aucune initiative. Il veut voir venir les choses. Même si en apa
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FAF-Madjer : Un tête-à- tête dans les prochaines heures

Le dossier Madjer est toujours en stand-by au niveau de la Fédération algérienne de football (FAF). Les deux parties s’observent et attendent. Le sélectionneur national ne veut prendre aucune initiative. Il veut voir venir les choses. Même si en aparté il semble avoir évolué dans la réflexion. Quelque part dans sa tête, il s’est ouvert une porte de sortie. Mais il ne veut pas se prononcer officiellement sur son avenir et préfère attendre ce que la Fédération compte faire. Celle-ci est embarrassée par la situation. Elle a entre les mains un fardeau encombrant, un coach encore sous contrat, et en même temps elle a ouvert la voie de la prospection pour lui trouver un successeur. Elle peut approcher des entraîneurs sans aller plus loin dans la mesure où le sélectionneur est toujours en place. Pour discuter avec un autre coach, il faut que la place soit libre. Pour l’instant, elle ne l’est pas. Cela peut retarder les contacts et la finalisation de l’accord. La Fédération, qui avait misé sur la Coupe du monde Russie 2018 pour engager un nouveau sélectionneur, se retrouve coincée par ce problème. Les agendas du président Kheireddine Zetchi et du sélectionneur Rabah Madjer seront bousculés dans les prochaines heures. Un tête-à-tête Zetchi-Madjer pourrait avoir lieu dans les toutes prochaines heures pour trouver un terrain d’entente et résilier le contrat qui lie les deux parties. Il devrait avoir lieu avant le 24 juin, date de la réunion du prochain bureau fédéral. La FAF semble pressée de clore ce dossier pour ouvrir celui de la succession de Madjer. Ce dernier attend que la Fédération statue définitivement sur son avenir pour tourner la page de l’équipe nationale qu’a priori il ne conduira pas dans les éliminatoires de la CAN Cameroun 2019.

ES Sétif : Le compte à rebours a commencé

Après l’intermède des fêtes de l’Aïd, le onze sétifien reprend le travail, ce soir, à partir de 20 heures. Ayant débuté la préparation le 3 juin dernier, les Ententistes mettront  le cap  demain sur la Tunisie pour y effectuer un stage bloqu
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ES Sétif : Le compte à rebours a commencé

Après l’intermède des fêtes de l’Aïd, le onze sétifien reprend le travail, ce soir, à partir de 20 heures. Ayant débuté la préparation le 3 juin dernier, les Ententistes mettront  le cap  demain sur la Tunisie pour y effectuer un stage bloqué de deux semaines. Les Sétifiens, qui auront du mal à trouver un sparring-partner en cette période, vont peaufiner la préparation et tout faire pour créer une osmose entre des éléments venus d’horizon divers. Soulignons que le  regroupement en pays chaud (destination déconseillée par les spécialistes et experts) intervient avant la reprise de la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique et des éliminatoires de la Coupe arabe, programmées durant la deuxième quinzaine du mois de juillet prochain. Sous la houlette du Marocain Rachid Taoussi, le staff technique sétifien devra  mettre les bouchées doubles pour  constituer un nouveau noyau, donner une âme et un caractère, mettre sur pied des schémas tactiques et  un fond de jeu à un groupe refait à plus de 80%. Pour Taoussi et ses collaborateurs, la mission s’annonce ardue, pour ne pas dire impossible. Car ce n’est pas du tout évident de tout reconstruire en si peu de temps. La démarche du numéro un du club, Hacen Hamar, qui a procédé au recrutement de 11 éléments, en attendant la venue de l’Ivoirien Silla et de l’axial du CRB, Naâmani, complique un peu plus les affaires du staff technique. Lequel aura du mal à gérer la pléthore et les sautes d’humeur de nombreux joueurs qui seront, à chaque fois, priés de prendre place sur le banc ou dans les tribunes. La forme physique de certains éléments, ainsi que le niveau de nouveaux  joueurs, n’ayant pas l’expérience requise, compliqueront davantage la tâche de l’entraîneur en chef, auquel on a assigné des objectifs bien précis. N’ayant pas été associé dans le recrutement, le coach ententiste a du pain sur la planche. Pour bâtir un onze en mesure de contrer la coriace formation marocaine d’El-Hassani El-Djadidi qu’il connaît bien, Rachid Taoussi est  désormais contraint de jouer la course contre la montre.  

Bourdim 5e recrue, un latéral et El Mellali pour clore le recrutement

La formation du Mouloudia d’Alger a enregistré, tard dans la soirée de mardi, l’engagement de sa cinquième recrue estivale. Le meneur de jeu de la JS Saoura, Abderrahmane Bourdim, a officiellement paraphé un contrat de deux saisons avec le Doyen, suit
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Bourdim 5e recrue, un latéral et El Mellali pour clore le recrutement

La formation du Mouloudia d’Alger a enregistré, tard dans la soirée de mardi, l’engagement de sa cinquième recrue estivale. Le meneur de jeu de la JS Saoura, Abderrahmane Bourdim, a officiellement paraphé un contrat de deux saisons avec le Doyen, suite à l’accord trouvé entre Zerouati, le patron de la JSS, et le directeur sportif du MCA, Kamel Kaci-Saïd. Il faut dire que les négociations ont été très serrées et duré près d’un mois avant que les deux parties ne trouvent un accord. Certaines indiscrétions font état d’une libération qui aurait coûté plus de deux milliards de centimes au MCA, avec un salaire mensuel de 230 millions de centimes. Bourdim, convoité par deux autres formations (USMA et CSC), est ainsi la 5e recrue du club algérois cet été, après l’engagement de Haddouche (ESS), Arous (PAC), Benothmane (Club Africain – Tunisie) et le portier Morseli (O Médéa). Toujours dans le volet recrutement, avec l’engagement de Bourdim, la direction du MCA compte boucler bientôt l’opération de renforcement, en ciblant deux à trois joueurs tout au plus. Kaci-Saïd qui espère une dérogation pour recruter un attaquant africain, attend de régler le cas d’El Mellali (Paradou AC) et d’engager un défenseur latéral pour ficeler la composante de l’effectif de la nouvelle saison.

USM Alger : Thierry Froger, la piste de Serrar

C’est l’entraîneur français Thierry Froger qui sera à la barre technique des Rouge et Noir cette saison. Selon une source proche du club, Abdelhakim Serrar a trouvé un terrain d’entente avec l’ancien coach du club de la RD Congo, TP Mazembe
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USM Alger : Thierry Froger, la piste de Serrar

C’est l’entraîneur français Thierry Froger qui sera à la barre technique des Rouge et Noir cette saison. Selon une source proche du club, Abdelhakim Serrar a trouvé un terrain d’entente avec l’ancien coach du club de la RD Congo, TP Mazembe – un poste qu’il a occupé pendant un mois. Et si le club ne veut pas, pour l’instant, l’annoncer officiellement, c’est par crainte de voir échouer cette option, comme c’était le cas avec le Marocain Badou Zaki à la fin de la précédente saison, qui a finalement préféré le MC Oran, alors que l’USMA avait officiellement annoncé sa venue, ou tout récemment le Bosnien Mesa Bazdarevic, ancien sélectionneur de la Bosnie-Herzégovine, qui avait donné son accord avant de se rétracter à la dernière minute. Beaucoup de supporters usmistes sont sceptiques à cet effet. Et même si les «contacts» avec Froger se concrétisent, cela n’est pas fait pour dissiper leurs inquiétudes. Le profil du technicien français ne ferait pas apparemment l’unanimité. Celui-ci n’a exercé en France qu’en Ligue 2 ou en National (3e division). Son expérience en Afrique se résume à neuf mois passés au Togo en tant que sélectionneur et à un mois au TP Mazembe, son dernier poste. Il avait été limogé en avril 2017 suite à l’élimination du club de la Ligue des champions d’Afrique. Serrar arrivera-t-il à convaincre les amoureux de ce club du bien-fondé de son choix ? Seul le terrain le dira. L’USMA reprendra les entraînements après l’Aïd. La problématique de l’entraîneur devra être réglée d’ici là.

Les techniciens algériens ont la cote dans les pays arabes

Le mercato estival en Algérie ne concerne pas seulement les joueurs, mais aussi les techniciens, dont bon nombre ont choisi de s’expatrier dans les pays arabes. Décidément, les techniciens algériens ont la cote à l’étranger, plus précisément da
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Les techniciens algériens ont la cote dans les pays arabes

Le mercato estival en Algérie ne concerne pas seulement les joueurs, mais aussi les techniciens, dont bon nombre ont choisi de s’expatrier dans les pays arabes. Décidément, les techniciens algériens ont la cote à l’étranger, plus précisément dans les pays arabes, puisque plusieurs entraîneurs ont été sollicités dans les différents championnats, et ont décidé de s’expatrier. C’est Kheireddine Madoui qui a ouvert le bal cet été, en s’engageant avec le club égyptien d’Al Ismaïly. L’ex-entraîneur de l’Entente de Sétif, qui devait faire son come-back chez l’Aigle noir cet été, après une courte expérience en Tunisie, plus précisément au sein de la formation de l’ES Sahel (cinq mois), a fini par rebrousser chemin, en donnant suite à l’offre des Darawichs d’Al Ismaïly, où il effectuera ainsi sa troisième expérience de sa jeune carrière de technicien en dehors du sol national, après une première expérience ratée au sein du club saoudien d’El Wahda (2016). A signaler qu’en s’engageant avec Al Ismaïly, Madoui devient le premier technicien algérien à entraîner un club du championnat égyptien. Après Madoui, c’est un autre technicien bien connu sur la place d’Alger qui a décidé lui aussi de s’expatrier. Il s’agit de Abdelkrim Bira. Ce dernier qui a fait le tour d’Algérie des clubs des Ligues 1 et 2, tentera cette fois-ci une nouvelle expérience dans le championnat de Jordanie, où il a conclu avec la formation d’Al Ramtha, qu’il rejoindra ces jours-ci, pour constituer son staff et former une équipe dans le but de jouer les premiers rôles. A noter que Bira, qui a fait le plus gros de sa carrière en Algérie, a déjà eu une petite expérience à l’étranger, plus précisément chez nos voisins tunisiens, à la tête de la barre technique du club de Gafsa. Bira ne sera pas le seul technicien algérien à travailler cette saison en Jordanie, puisqu’un autre entraîneur vient de le rejoindre. Il s’agit de Mourad Rahmouni, l’ex- entraîneur de la JS Kabylie, du MC Saïda et du MO Béjaïa. L’ancien défenseur international des Canaris devrait en effet travailler aux côtés de Bira, au sein de la formation d’Al Ramtha, qui est engagée sur plusieurs fronts, dont la Coupe arabe des clubs dans sa nouvelle version, où elle affrontera en septembre prochain les Tunisiens de l’ES Sahel en 32e de finale. Miloud Hamdi, le désormais ex-entraîneur de l’USM Alger, a lui aussi décidé de quitter l’Algérie et de retourner dans les pays du Golfe où il s’est fait un nom. Hamdi, qui avait décidé de quitter l’USMA un mois avant la fin de la saison écoulée, avant d’accepter de travailler dans le nouveau staff du club algérois, a finalement donné suite à l’offre du club koweïtien d’Al Salmiya. Le natif de Saint-Etienne, qui a entamé sa carrière d’entraîneur en France au GS Consolat (2009-2012), avait pris par la suite les destinées des U21 du club saoudien d’El Ettifak, avant de rejoindre l’USMA, une première fois en 2015 pour la quitter une année plus tard pour le club marocain (Ligue 2) de Berkane, avant de faire son come-back l’hiver dernier à l’USMA. Miloud Hamdi ne sera pas le seul technicien franco-algérien à exercer la saison prochaine dans le championnat koweïtien de première Division. Kamel Djabour, qui s’est fait connaître en Algérie en prenant la barre technique de la JSM Béjaïa en 2012, alors que l’équipe béjaouie évoluait encore en championnat professionnel de Ligue 1, s’est pour sa part engagé avec le club koweïtien d’Al Jahra. Djabour, qui s‘est distingué en travaillant comme entraîneur adjoint à l’AJ Auxerre (Ligue 1 – France), a eu au préalable une première expérience dans les pays du Golfe, en dirigeant la formation émiratie de l’Ittihad Kalba, même si le gros de sa carrière, le technicien l’a effectué en Afrique noire, en étant sélectionneur du Congo, en passant par le championnat béninois où il a dirigé deux clubs, ainsi que le Stade Malien (Mali).

NA Hussein Dey : La direction mise sur la stabilité

Au moment où le marché des transferts est sérieusement enflammé en ce mois de Ramadhan, la direction du Nasria reste inébranlable devant le va-et-vient des joueurs. Jusqu’au jour d’aujourd’hui le Nasria a engagé trois joueurs seulement, à savo
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NA Hussein Dey : La direction mise sur la stabilité

Au moment où le marché des transferts est sérieusement enflammé en ce mois de Ramadhan, la direction du Nasria reste inébranlable devant le va-et-vient des joueurs. Jusqu’au jour d’aujourd’hui le Nasria a engagé trois joueurs seulement, à savoir Raïah (JSK), Dib (ASAM) et Mouaki (USB), et les responsables ne semblent pas intéressés par un recrutement quantitatif, mais plutôt par le renforcement de certains postes afin de créer la concurrence et d’assurer la doublure. En effet, les trois nouvelles recrues vont renforcer les compartiments de l’attaque et du milieu de terrain même si l’équipe a besoin aussi d’un attaquant de pointe. Les dirigeants ne sont pas inquiets de la situation, surtout après avoir gardé les cadres de l’équipe qui étaient en fin de contrat, tels que Merbah, Khiat, Gasmi, El Orfi et bientôt El Ouartani. Selon notre source, la direction des Sang et Or, en concertation avec le staff technique, pourrait encore engager un ou deux joueurs étrangers en fonction des besoins de l’équipe, notamment en pointe et dans l’axe, surtout en prévision de la Coupe de la CAF. Sinon, il est clair que l’entraîneur Billel Dziri va compter sur les joueurs sous la main, à l’image de Gasmi, Yousfi et même des jeunes Haroune et Zerdoum. Ce dernier a signé récemment un contrat professionnel, au même titre que ses partenaires Tougaï, Belaïd et Nacef, lesquels constituent sans doute l’avenir du club. En parallèle, la direction a procédé à la libération de certains éléments qui n’ont pas donné satisfaction, tels que Ouali, Al Amalli et Herrida.  

JS Kabylie : Mellal promet un entraîneur avant l’Aïd

Si la direction de la JSK semble bien gérer l’opération recrutement depuis quelque temps, malgré un léger cafouillage remarqué au début, la question qui taraude l’esprit des milliers de fans des Canaris reste celle inhérente à la barre technique,
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JS Kabylie : Mellal promet un entraîneur avant l’Aïd

Si la direction de la JSK semble bien gérer l’opération recrutement depuis quelque temps, malgré un léger cafouillage remarqué au début, la question qui taraude l’esprit des milliers de fans des Canaris reste celle inhérente à la barre technique, vacante depuis la fin de mission de Youcef Bouzidi, soit depuis un peu plus d’un mois. Il faut dire que l’absence d’un coach, alors que l’opération recrutement touche à sa fin, semble même quelque peu déplacée pour certains, qui auraient aimé voir plutôt le nouvel entraîneur se charger lui-même de ce volet, qui devrait être une de ses prérogatives exclusives. A propos du coach, et après les nombreuses promesses faites par le président de la JSK, Cherif Mellal, d’annoncer le nom du nouvel entraîneur de l’équipe, qu’il ne cesse de repousser, il a de nouveau répété sa promesse, en assurant cette fois-ci qu’il divulguerait le nom de l’entraîneur ce jeudi, du moins avant les fêtes de l’Aïd, en assurant que cette fois c’est fait, et qu’il a surtout tout réglé avec le technicien en question. C’est du moins ce qu’il dira lors d’une intervention à la radio du club, dans la soirée de lundi. en assurant : «C’est vrai que j’ai dit à plusieurs reprises que j’allais annoncer le nom de l’entraîneur et je ne l’ai pas fait. Mais je tiens à rassurer vraiment les supporters cette fois-ci. C’est vraiment réglé avec le nouvel entraîneur. La JSK a officiellement un entraîneur et je dis aux supporters que je leur annoncerai son nom avant les fêtes de l’Aïd. Ce sera d’ailleurs une grande surprise.» Un entraîneur qui devrait être sans trop de surprise, l’ancien baroudeur des Canaris, Djamel Menad. Ce dernier aurait en effet tout réglé avec la direction du club, et si son engagement n’a pas encore été annoncé officiellement, c’est que l’adjoint du sélectionneur national attend de régler sa situation vis-à-vis de la FAF, à en croire certaines confidences. Sur le volet recrutement, la direction de la JSK qui s’était assuré jusqu’à lundi dernier les services de huit nouveaux joueurs, devait poursuivre l’opération avec l’arrivée, hier, de deux nouvelles recrues. L’attaquant Nadji (ES Sétif) et le jeune meneur de jeu guinéen Mohamed Thiam arrivé lundi soir à Alger, et qui a subi une visite médicale dans la journée d’hier, devaient en effet s’engager, en fin de journée, respectivement pour deux et trois saisons, pourtant le nombre de recrues kabyles à dix. Et la direction kabyle ne compte pas s’arrêter en si bon chemin, puisque deux Africains (un Burundais et un Nigérian) sont attendus la semaine prochaine à Tizi Ouzou. Au niveau local, deux autres joueurs devraient figurer dans l’effectif des Canaris et clore le recrutement. Il s’agit du jeune attaquant du Paradou AC, El Moaden, et du défenseur central international du CR Belouizdad, Naâmani. A signaler enfin que l’ailier droit du DRB Tadjenanet, Belmokhtar, qui avait insisté pour ne jouer qu’à la JSK, a fini par céder visiblement à la pression, en optant pour le champion d’Algérie en titre, le CS Constantine.

Le Canada, le Mexique et les États-Unis accueilleront le Mondial-2026

Le trio Etats-Unis/Canada/Mexique a été désigné par les fédérations membres de la Fifa, avec 134 voix contre 65 pour son concurrent le Maroc, pour accueillir la Coupe du monde 2026, à l'issue du Congrès organisé mercredi à Moscou, à la veille de l'
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Le Canada, le Mexique et les États-Unis accueilleront le Mondial-2026

Le trio Etats-Unis/Canada/Mexique a été désigné par les fédérations membres de la Fifa, avec 134 voix contre 65 pour son concurrent le Maroc, pour accueillir la Coupe du monde 2026, à l'issue du Congrès organisé mercredi à Moscou, à la veille de l'ouverture du Mondial-2018. Le ticket nord-américain, qui avait promis durant sa campagne d'organiser «la Coupe du monde la plus lucrative de l'histoire», sera chargé d'accueillir la première Coupe du monde à 48 équipes. Pour le Maroc, il s'agit de son cinquième échec, après les revers de 1994, 1998, 2006 et 2010. A Moscou   Le trio Etats-Unis/Canada/Mexique a été désigné par les fédérations membres de la Fifa, avec 134 voix contre 65 pour son concurrent le Maroc, pour accueillir la Coupe du monde 2026, à l'issue du Congrès organisé mercredi à Moscou, à la veille de l'ouverture du Mondial-2018.

MO Béjaïa : Alain Michel a négocié

Comme nous l’évoquions dans notre édition d’hier, le technicien français Alain Michel était à Béjaïa avant-hier (dimanche) où il a rencontré les dirigeants du MOB, concernant son éventuel engagement à la barre technique en prévision de la sais
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MO Béjaïa : Alain Michel a négocié

Comme nous l’évoquions dans notre édition d’hier, le technicien français Alain Michel était à Béjaïa avant-hier (dimanche) où il a rencontré les dirigeants du MOB, concernant son éventuel engagement à la barre technique en prévision de la saison prochaine. D’ailleurs, l’entraîneur en question a eu un premier round de négociations avec la direction du club et un accord de principe a été trouvé entre les deux parties. Toutefois, un deuxième round est prévu pour aujourd’hui mardi pour finaliser, d’autant que le profil de l’ex-coach du CRB et du MCA intéresse beaucoup les dirigeants du MOB qui veulent à tout prix l’engager. Sur un autre volet, les dirigeants ont rencontré l’attaquant Abdelfettah Belkacemi avec qui ils ont abordé la question du renouvellement de son contrat en prévision de la saison prochaine. Un accord de principe a été trouvé, puisque la direction a répondu aux exigences financières du joueur en question en attendant de signer son contrat dans les prochains jours. Une réunion est prévue pour après l’Aïd entre les dirigeants et le nouvel entraîneur pour évoquer le programme de la préparation estivale.  

JS Kabylie : Hamroune et Belaïli en renfort

La direction de la JS Kabylie s’est assurée, aux premières heures de la journée de lundi, deux nouvelles recrues, portant le nombre de ses nouvelles recrues estivales à huit joueurs. Le premier à signer son contrat est le jeune attaquant émigré Re
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JS Kabylie : Hamroune et Belaïli en renfort

La direction de la JS Kabylie s’est assurée, aux premières heures de la journée de lundi, deux nouvelles recrues, portant le nombre de ses nouvelles recrues estivales à huit joueurs. Le premier à signer son contrat est le jeune attaquant émigré Rezki Hamroune, qui s’est engagé pour deux saisons. Natif de Kouba et évoluant la saison écoulée en division nationale en France (l’ASC Saint-Apollinaire), Hamroune était aussi pisté par l’USM Alger. La seconde recrue de la journée est le défenseur latéral droit du CR Belouizdad, Amir Belaïli, qui vient pallier le départ de Houari Ferhani. Le natif du Khrioub a paraphé un contrat de deux saisons en faveur du club kabyle. Ces deux nouvelles recrues s’ajoutent aux six nouveaux éléments qui se sont engagés cet été avec la JSK depuis l’ouverture du marché des transferts estival, et qui sont les émigrés Samy Selama et Kacem Akouche, les deux portiers Abdelkadir Salhi et Oussama Benbot, et enfin les deux toutes premières recrues, à savoir le défenseur de l’Arbaâ Souyed et le meneur de jeu du Paradou AC, Benkhelifa. La JSK devra clore son recrutement bientôt, en espérant finaliser avec l’ailier du DRB Tadjenanet Benmokhtar, bloqué par sa direction, et le recrutement de deux Africains, attendus cette semaine à Tizi-Ouzou. Mais la question qui reste en suspens et qui inquiète le plus les supporters, c’est celle de la vacance du poste d’entraîneur de l’équipe, alors que cela fait plus d’un mois que la direction évoque une annonce imminente, sans pour autant le faire. Une absence que la direction kabyle n’a pas encore réussi à combler, hésitant entre l’actuel coach national adjoint Djamel Menad et un technicien de nationalité française.  

CR Belouizdad : Bouhafs choisit Aït Djoudi, l’opposition veut Bougherara

Le président du CR Belouizdad, Mohamed Bouhafs, réapparu après une longue éclipse, a vite réagi en engageant l’entraîneur Azzedine Aït Djoudi pour barrer la route à l’opposition et mettre tout le monde devant le fait accompli. Le technicien kab
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CR Belouizdad : Bouhafs choisit Aït Djoudi, l’opposition veut Bougherara

Le président du CR Belouizdad, Mohamed Bouhafs, réapparu après une longue éclipse, a vite réagi en engageant l’entraîneur Azzedine Aït Djoudi pour barrer la route à l’opposition et mettre tout le monde devant le fait accompli. Le technicien kabyle affirme pourtant que les pourparlers avec le président du Chabab remontent au mois de février. Il a signé un contrat de deux saisons avec l’objectif de relever le défi malgré les difficultés (problèmes financiers et départ des joueurs cadres entre autres). L’ancien entraîneur du MOB s’est montré ambitieux même si la situation n’est guère favorable avec les conflits internes et le manque d’argent. Aït Djoudi qui a eu par le passé deux tentatives avortées pour diriger l’équipe du Chabab, pourrait revivre le même scénario, notamment durant le mandat du regretté Ali Farah (2004/2005) où il a été engagé pour quelques matches avant d’être remplacé par Benchikha. Aujourd’hui, l’histoire se répète et le club phare de Laâqiba vit la même situation. Aït Djoudi ne fait pas l’unanimité au sein de la direction du club, sachant que l’opposition à l’intérieur du Conseil d’administration veut destituer l’actuel président. Des membres de l’opposition ont, en effet, proposé l’entraîneur Liamine Bougherara qui a réussi l’accession avec le CABBA. Une réunion entre les actionnaires prévue samedi passé, a été reportée pour ce soir au cours de laquelle l’avenir du président Bouhafs à la tête du club devrait se décider par les membres du CA, et par voie de conséquence l’avenir du coach Aït Djoudi à la barre technique. Bouhafs, de son côté, soutient mordicus qu’il restera toujours le président et qu’il sera le seul à prendre des décisions.  

Quatre candidatures retenues

La commission de candidature à la présidence de la Ligue de football professionnel (LFP) a rendu son verdict, avant-hier, pour ce qui est des listes définitives des candidats pour les postes de président et de membre du conseil d’administration de la Li
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Quatre candidatures retenues

La commission de candidature à la présidence de la Ligue de football professionnel (LFP) a rendu son verdict, avant-hier, pour ce qui est des listes définitives des candidats pour les postes de président et de membre du conseil d’administration de la Ligue, dont l’élection est prévue le 21 juin. Ainsi, pour ce qui est de la présidence, une seule candidature a été rejetée. Il s’agit de celle de Noureddine Bouchoul, de la JSM Skikda. Le motif est lié aux conditions d’éligibilité énumérées dans l’article 36.1 des statuts de cette instance. Celui-ci stipule que le candidats aux fonctions de membre du conseil d’administration ou de président de la LFP doit, entre autres, «être membre de l’assemblée générale, être de nationalité algérienne, être âgé au minimum de 30 ans, jouir de ses droits civils et civiques, ne pas avoir subi de sanction sportive grave, ne pas avoir été condamné pour des délits infamants, avoir un niveau de formation justifié, soit par des études universitaires, soit par l’exercice d’une fonction de responsabilité supérieure au sein du secteur public ou privé et avoir exercé des responsabilités dans des institutions ou associations du football pendant au moins cinq années consécutives». Bouchoul est concerné par l’alinéa «a» de l’article (membre de l’AG). Ainsi, les quatre candidatures retenues, qui ont donc répondu aux critères, sont celles de Mohamed El-Morro (ASM Oran), Azzedine Arab (ES Sétif), Abdelkrim Medouar (ASO Chlef) et Mourad Lahlou (NA Hussein Dey). Pour les membres du conseil, trois dossiers ont été rejetés. Il s’agit de ceux de Mourad Benlakhadar (JSS), Nacer-eddine Baghdadi (USMH) et Farouk Belguidoum (RCK), et ce, pour les mêmes motifs (article 21.1 du règlement intérieur et 36.1 des statuts). Benlakhadar et Belguidoum ne sont pas membres de l’AG, selon le communiqué de la commission de candidature, alors que Baghdadi n’a pas «exercé des responsabilités dans des institutions ou associations du football pendant au moins cinq années consécutives». Les candidats au bureau exécutif sont donc Adrar Akli (MOB), Belabes Abdelhafid (ASMO), Benabderahmane Nassim (JSK), Messaoudene Djamel (CABBA), Sakhri Mohamed (OM), Boualem Mohamed (MCS), Herrada Mabrouk (MCEE) et Zaim Abdelbasset (USMAn). Il faut noter, en dernier lieu, que les candidats «recalés» ont jusqu’à demain 18h pour déposer des recours, qui seront examinés les 13 et 14 juin. La publication de la liste définitive se fera le 15 du mois en cours, six jours avant l’élection.  

USM Alger : Serrar tente de rassurer les supporters

Le directeur général de l’USM Alger, Abdelhakim Serrar, a tenté de rassurer, avant-hier, dans une vidéo postée sur le site officiel du club, affirmant qu’il n’y avait pas lieu de s’alarmer. D’après lui, il n’y a nullement de «mauvaise ge
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USM Alger : Serrar tente de rassurer les supporters

Le directeur général de l’USM Alger, Abdelhakim Serrar, a tenté de rassurer, avant-hier, dans une vidéo postée sur le site officiel du club, affirmant qu’il n’y avait pas lieu de s’alarmer. D’après lui, il n’y a nullement de «mauvaise gestion», mais seulement des contretemps dont la direction n’est pas responsable. «Parfois, on met le paquet et ça ne fonctionne pas», dira-t-il à propos des contrats entrepris récemment — et qui n’ont pas abouti — avec l’entraîneur bosnien Mesa Bazdarevic. «Il m’a informé lui-même que Vahid (Halilhodzic, ndlr) l’avait appelé pour diriger Nantes», a-t-il ajouté. Toutefois, Serrar s’est voulu confiant. «Donnez-nous le temps de trouver un entraîneur et un avant-centre et l’équipe sera prête. Il nous reste plus d’un mois pour le premier match. On mettra sur pied une équipe compétitive», a-t-il déclaré avant de réaffirmer que son objectif reste la Coupe d’Afrique. «On a un seul objectif, c’est la Coupe de la CAF», a-t-il ajouté. Revenant sur le départ de certains cadres de l’équipe, l’ancien patron de l’ES Sétif a tenu à signaler qu’il comprenait l’«inquiétude» ou la «déception» des supporters quand ils voient que «des éléments ayant joué pendant cinq ou six ans à l’USMA sont partis». Serrar a cité à cet effet les départs de Abdelaoui, Derfalou et Beldjilali, autant de licences africaines «perdues» pour le club. Mais, d’après lui, la direction n’a pas voulu se précipiter en optant pour un recrutement «tous azimuts». Tout en affirmant que l’attaquant Sofiane Benyamina, ayant quitté finalement l’Algérie après un séjour de deux jours, ne signera pas à l’USMA, le directeur général usmiste a rappelé qu’il avait recruté jusque-là «deux défenseurs centraux, un arrière droit, un milieu offensif et de jeunes attaquants». En plus d’un coach, l’équipe est à la recherche d’un avant-centre. En dernier lieu, Serrar est également revenu sur la date de la reprise des entraînements. Si dans un premier temps, elle était fixée pour le 11 du mois en cours (aujourd’hui, ndlr), «c’est parce que Mesa Bazdarevic, au moment où il avait donné son accord pour l’USMA, l’avait demandé», indique-t-il. Aujourd’hui, la direction préfère décaler cette reprise jusqu’à après l’Aïd. «Il est inutile de s’entraîner pendant trois jours et de libérer les joueurs ensuite pour deux ou trois jours», a indiqué Serrar. En tout cas, la saison débute mal pour le nouveau DG de l’USMA. La pression ne retombera que dans le cas d’un recrutement d’un entraîneur «convaincant» et une bonne entame en Coupe de la CAF lors de la reprise de la phase de poules au mois de juillet.  

L’avenir de Madjer sera tranché après le retour de Zetchi

La question de l’avenir du sélectionneur national, Rabah Madjer, à la tête de l’équipe nationale n’est pas encore réglée. Ni la fédération ni l’intéressé ne se sont encore prononcés officiellement sur le sujet, laissant la voie ouverte
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L’avenir de Madjer sera tranché après le retour de Zetchi

La question de l’avenir du sélectionneur national, Rabah Madjer, à la tête de l’équipe nationale n’est pas encore réglée. Ni la fédération ni l’intéressé ne se sont encore prononcés officiellement sur le sujet, laissant la voie ouverte à toutes les spéculations. Même si des voix autorisées prêtent à la fédération la ferme intention de mettre un terme à la relation de travail avec le sélectionneur et son staff, rien n’a encore été fait. Le président s’est envolé pour la Russie quelques heures après le retour des Verts du Portugal, où ils ont concédé une sévère défaite (0-3). Il n’a pas eu le temps de s’entretenir avec le sélectionneur sur son avenir à la tête de l’équipe nationale. Des parties se sont chargées d’annoncer la rupture du contrat à l’issue d’un tête-à-tête, samedi, entre les deux hommes. Rabah Madjer, contacté hier en fin de journée, s’est déclaré «surpris par toutes ces rumeurs qui entourent ma personne. Depuis notre retour du Portugal je n’ai rencontré aucun officiel de la fédération et encore moins le président. Ce rendez-vous dont tout le monde parle n’était inscrit ni dans l’agenda du président ni dans le mien. Bien sûr que nous allons nous rencontrer pour évoquer la situation qui prévaut actuellement. Cela se fera en temps opportun». Revenant sur tout ce qui s’est passé depuis son installation comme sélectionneur, Rabah Madjer souligne : «Je m’attendais, comme tous les entraîneurs, à être critiqué mais pas un instant je n’ai songé qu’il pourrait y avoir autant de méchanceté et de férocité contre moi. Cela dépasse tout entendement. J’attends le retour du président pour aborder la question de mon avenir. Personne n’est éternel, sauf Dieu. Je pardonne à ceux qui ont été odieux envers moi. Je vais me ressourcer auprès des miens. En attendant de rencontrer le président de la fédération.» Au sujet de ses collaborateurs, il a précisé : «Contrairement à ce qui se dit ici et là, Meziane Ighil et Djamel Menad sont dans la même situation que moi. Ils n’ont pas démissionné et n’ont pas été limogés. Eux aussi attendent le retour du président pour prendre une décision concernant leur avenir.» Les propos de Rabah Madjer sont teintés de retenue et de patience. Mais ne laissent à aucun moment le sentiment que l’aventure se poursuivra.

MOC : Blame n’est plus

Abdeslam Blame, l’ancien gardien de but du MO Constantine des années 1960-1970, est décédé vendredi suite à un arrêt cardiaque. Il avait 72 ans. Le défunt a accompli l’essentiel de sa carrière au MO Constantine qu’il a rejoint en petites cat
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MOC : Blame n’est plus

Abdeslam Blame, l’ancien gardien de but du MO Constantine des années 1960-1970, est décédé vendredi suite à un arrêt cardiaque. Il avait 72 ans. Le défunt a accompli l’essentiel de sa carrière au MO Constantine qu’il a rejoint en petites catégories. Il a évolué très jeune en équipe seniors à l’époque où le Mouloudia de Constantine était un pensionnaire régulier en Nationale Une. A la fin des années 1960, il a été à maintes reprises retenu en sélections espoirs. Il a réalisé ses meilleures saisons en 1965-1966 et 1967-1968 lorsqu’il était le dernier rempart du MOC. Il n’a pas eu le bonheur de disputer les deux finales (perdues) contre le MC Oran en 1974-1975 et le MC Alger en 1975-1976. Naïdja et Soucha l’ont remplacé dans les buts. Mohamed Salah Hanchi a joué la finale contre le MC Oran. Abdeslam Blame est resté fidèle au MOC lorsque ce dernier a effectué sa traversée du désert (division 2) entre 1968 et 1972, année du retour du MOC en Nationale 1. Après sa retraite footballistique, Abdeslam s’est occupé de la formation des jeunes gardiens de but. Il était très apprécié par tous ceux qui l’ont approché ou joué avec lui. Sa tragique disparition a été douloureusement ressentie par tous les anciens footballeurs de sa génération. Abdeslam Blame a été inhumé hier, samedi, à Constantine. Suite à ce malheur, la rédaction sportive présente ses condoléances à la famille du défunt et prie Dieu le Tout- Puissant et Miséricordieux de l’accueillir en Son Vaste Paradis. A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons.

Le voile sera levé le 13 juin

Mercredi 13 juin 2018 sera connu le pays où se jouera la Coupe du monde 2026. Deux candidatures sont en course. Le Maroc et United 2026 (USA- Canada - Mexique). Pour la première fois dans l’histoire de la FIFA et la Coupe du monde, ce ne sera pas le go
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Le voile sera levé le 13 juin

Mercredi 13 juin 2018 sera connu le pays où se jouera la Coupe du monde 2026. Deux candidatures sont en course. Le Maroc et United 2026 (USA- Canada - Mexique). Pour la première fois dans l’histoire de la FIFA et la Coupe du monde, ce ne sera pas le gouvernement, le conseil et ex-comité exécutif, qui décidera où se jouera la Coupe du monde. Après les scandales et remous provoqués par le choix de Russie 2018 et Qatar 2022 prononcé par le défunt comité exécutif dirigé de main de maître par le président de l’époque Joseph Sepp Blatter, l’instance faîtière du football international avait décidé en 2011 de confier le soin au congrès, 112 associations, 208 votants, de choisir le pays organisateur. Le choix pour 2026 semble d’ores et déjà acquis à la candidature nord-américaine. Echaudée par l’implication de la justice américaine dans la décapitation de la FIFA version Blatter, la FIFA et son président, l’Italo-Suisse Gianni Infantino donnent l’impression d’avoir choisi leur parti. Ils ne veulent pas fâcher les Américains une autre fois. Pour rappel, avant le vote pour la Coupe du monde 2022, c’était en novembre 2010, la FIFA avait rassuré les Etats-Unis. La suite, tout le monde la connaît. Le Qatar a raflé la mise à la barbe des Américains, chose qu’ils n’ont jamais pardonnée au vieux Blatter. A la veille du vote pour la Coupe du monde 2026, le Maroc et United 2026 font le compte des voix qui leur sont acquises. Le Maroc commence à se faire du souci suite aux échos qui parviennent d’un peu partout. Des fissures sont apparues ces dernières semaines au sein des deux blocs qui ont annoncé leur soutien à la candidature du Maroc aux premiers instants de l’annonce de sa candidature. L’Afrique va aller voter en ordre dispersé comme le voulait le président de la FIFA. La Cosafa, qui a grandement contribué à l’élection du président de la CAF, Ahmad Ahmad, est en phase avec Gianni Infantino. D’autres fédérations africaines vont lui emboîter le pas sans que le président de la CAF ne puisse maintenir la discipline de vote auquel il a appelé à partir du Maroc à l’occasion du congrès de la confédération. L’Asie connaît la même fièvre. L’Arabie Saoudite et l’Afghanistan ont annoncé leur ralliement à la candidature United 2026 alors que le Qatar a confirmé son vote en faveur du Maroc. Gianni Infantino ne cache plus sa préférence pour United 2026. L’annonce de la suspension de la Fédération ghanéenne par les autorités du pays arrange bien les affaires du patron de la FIFA. Il pèsera de tout son poids pour que le congrès se prononce contre le droit de vote de la Fédération ghanéenne. Une voix de moins pour le Maroc. La Fédération guatémaltèque qui était suspendue a été réhabilitée à quelques jours du vote. La Comebol (Confédération sud-américaine de football) a averti le Maroc. Elle donnera ses voix à United 2026. Le Maroc, qui a déposé sa 5e candidature après 1994, 1998, 2006 et 2010, sera fixé sur son sort mercredi prochain.

ES Sétif : Les risques d’un recrutement mal étudié

Après une saison des plus calamiteuses, le président de l’ESS fait table rase. Avant le recrutement d’un coach attitré, Hacen Hamar, entame tambour battant le mercato estival. N’obéissant à aucun critère objectif, l’opération, qui se chiffr
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ES Sétif : Les risques d’un recrutement mal étudié

Après une saison des plus calamiteuses, le président de l’ESS fait table rase. Avant le recrutement d’un coach attitré, Hacen Hamar, entame tambour battant le mercato estival. N’obéissant à aucun critère objectif, l’opération, qui se chiffre en millions de dinars, s’est finalement transformée en un recrutement en vrac. Rachid Taoussi, qui a confié l’intérim à Malik Zorgane en lieu et place de Nacerdine Sadi, un instructeur CAF, aura du mal à gérer la pléthore. Soulignons qu’aucune ligne n’échappe au surnombre. Ce point va tôt ou tard influer négativement sur la gestion et la bonne marche du groupe. Le grincement des dents va envahir les vestiaires de l’Aigle noir sétifien devant à court et moyen termes faire les frais de ce recrutement à la fois onéreux et irréfléchi. Si les choses sont plus ou moins claires pour le poste de gardien de but, un inextricable embouteillage «distingue» les autres compartiments. Ainsi, pas moins de 8 éléments (Ferhani, Redouani, Nemdil, Boumaiza, Saad, Badrane, Ziti et Rebiai) sans compter le Gabonais Ombambou postulent pour un poste en défense. Cherchant la stabilité de son équipe, le coach ententiste ne va pas utiliser tout ce beau monde. Recrutés à prix fort pour ramener un plus, Redouani, Nemdil et Ferhani ne viennent pas pour faire de la figuration. Le même «bouchon», on le retrouve au milieu du terrain où la concurrence sera rude entre Aiboud, Djahnit, Demene, Mellal, Bakir, Draoui, Sidhoum et l’Ivoirien Issalah Daoudi. Ne cadrant pas avec les choix du coach, de nombreux éléments devront, la mort dans l’âme, chauffer le banc des remplaçants. La ligne d’attaque n’est pas épargnée par l’«inflation». De retour de prêt (USB), le jeune Berbache devra batailler dur pour gagner sa place aux côtés de Bouguelmouna, Lakroum, Banouh, Ghacha et Belahouel, annoncé pour remplacer Benayad en route vers l’USMBA. Avec un tel surnombre, Taoussi est d’ores et déjà sous pression. Le Marocain va éprouver toutes les peines du monde à dégager un noyau de 16 éléments devant composer l’ossature de l’équipe. Pour y parvenir, il lui faudra du temps, sachant que les nouvelles recrues ont besoin d’une période d’adaptation. Une équipe en reconstruction fera en outre face aux problèmes de la cohésion et les automatismes qui ne s’acquièrent pas en un jour. Soulignons, par ailleurs, que le staff technique est lui aussi atteint par la pléthore. L’Entente de Sétif, qui ne roule pourtant pas sur l’or, fonctionne à l’heure actuelle avec trois adjoints (Sadi, Zorgane et Bendris), deux préparateurs physiques (Boudjenane et Abad) et un entraîneur des gardiens, Kamel Abassen. La cacophonie, les interférences, les incompatibilités d’humeur vont, un jour ou l’autre, saper la gestion du groupe. Afin de mener à bien sa mission, l’entraîneur en chef a besoin d’un staff restreint, compétent et efficace. En ménageant le chou et la chèvre, le n°1 de l’ESS, qui n’a toujours pas fait le ménage promis, fait du recrutement en vrac un mode d’emploi…

«On a perdu le jeu et la force qui étaient les nôtres sous la coupe de Halilhodzic et Gourcuff»

Seul joueur à s’exprimer en zone mixte à Lisbonne, après la lourde et humiliante défaite face au Portugal, l’ancien capitaine des Verts et plus ancien capé de la sélection, Carl Medjani, a été comme à son habitude franc et pragmatique. D’emb
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«On a perdu le jeu et la force qui étaient les nôtres sous la coupe de Halilhodzic et Gourcuff»

Seul joueur à s’exprimer en zone mixte à Lisbonne, après la lourde et humiliante défaite face au Portugal, l’ancien capitaine des Verts et plus ancien capé de la sélection, Carl Medjani, a été comme à son habitude franc et pragmatique. D’emblée, il relèvera la différence de niveau. «Face au Portugal, on a vu la différence de niveau entre une grande équipe et nous. Ce n’est pas moi qui vais tirer sur l’ambulance, mais dans un match, il y a toujours de bonnes choses et d’autres moins bonnes. Les seuls regrets qu’on a, c’est que les trois buts on aurait pu et même dû les éviter. Ce sont des erreurs qui sont facilement corrigeables. C’est ce qui laisse quelques regrets», déplore-t-il. Et de faire un constat amer : «On est une équipe qui est en difficulté, il ne faut pas se le cacher. Mais il faut garder la tête froide et se remettre au travail, car le plus important pour l’EN c’est au mois de septembre et la reprise des éliminatoires pour la CAN-2019.» Interrogé au sujet de la polémique sur l’avenir de Madjer à la tête de la sélection nationale, et s’il avait évoqué le sujet dans les vestiaires avec ses coéquipiers, Medjani estime que cela n’est pas du ressort des joueurs. «Nous, les joueurs, on est loin de tout cela. On a suivi les déclarations des uns et des autres. Une chose est sûre, tout le monde a des responsabilités. La seule chose qu’on ne peut pas enlever à Madjer, c’est qu’il a voulu bien faire et il a toujours parlé avec son cœur. Après, s’il y a des décisions qui seront prises par la fédération, nous, en tant que joueurs, on n’a pas notre mot à dire. On ne nous a pas demandé notre avis pour ramener un coach, on ne demandera pas notre avis s’il y a lieu de prendre une décision. Nous, en tant que joueurs, notre souci est de donner le meilleur de nous-mêmes sur le terrain, même si sur les trois derniers matchs, on a été vraiment très en difficulté. Il faut faire un constat et essayer de trouver des solutions à nos maux, tout simplement», annonce Medjani. Ce dernier, tout en reconnaissant que les Verts ont perdu leur beau jeu qu’ils avaient du temps de Halilhodzic et Gourcuff, trouvera des circonstances atténuantes à l’actuel sélectionneur national : «On a décidé de jouer en bloc, et la difficulté quand on joue bas, c’est de remonter le ballon et d’essayer d’être dangereux en attaque rapide. C’est quelque chose qu’on maîtrisait bien en 2013-2014 avec Halilhodzic et même en 2015 avec Gourcuff, quand il a repris l’équipe. C’est vrai que ce sont des choses qu’on a perdues par la suite, il faut le reconnaître. Mais il y a des choses à prendre en compte. L’équipe de ces années dernières n’est plus l’équipe qu’on a aujourd’hui», relève Medjani. Et d’ajouter : «C’est difficile aussi d’avoir une cohésion et des automatismes quand on est à la recherche d’une équipe. Le coach l’a bien dit, il a fait dans la prospection, et il a donné leur chance à de nouveaux joueurs. Donc ce n’est pas évident d’avoir un jeu huilé tout de suite après. Une équipe ne se construit pas en six ou sept mois, mais en deux à trois ans.» Medjani conclut : «Il faudra être patient. Et comme je l’ai dit il y a une année déjà, on est une équipe en construction et le plus important est d’être opérationnels pour les éliminatoires de la prochaine Coupe du monde.»  

Les Verts méconnaissables

La sélection nationale a concédé, jeudi soir face au Portugal, une autre défaite, la quatrième de suite en match de préparation, après celles face à l’Iran (2-1), l’Arabie Saoudite (2-0) et le Cap-Vert (3-2). Les Verts ont été battus sur le s
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Les Verts méconnaissables

La sélection nationale a concédé, jeudi soir face au Portugal, une autre défaite, la quatrième de suite en match de préparation, après celles face à l’Iran (2-1), l’Arabie Saoudite (2-0) et le Cap-Vert (3-2). Les Verts ont été battus sur le score de 3 à 0 sur un doublé de l’attaquant du FC Valence, Gonçalo Guedes, et un but de Bruno Fernandes. La présence de Ronaldo a été très appréciable pour le Portugal, qui n’a pas gagné depuis le mois de mars, car le quintuple Ballon d’or a été derrière toutes les actions chaudes de son équipe. Mais l’apport de Ronaldo n’explique pas à lui seul la déroute des Verts et la piètre prestation fournie par les camarades du portier Salhi, l’une des rares satisfactions, qui a évité à l’équipe une défaite beaucoup plus lourde. Les déboires continuent donc pour la sélection nationale, notamment sur le plan défensif qui demeure le maillon faible. L’équipe nationale avait, en effet, encaissé trois buts sur des erreurs que «les joueurs auraient pu éviter», reconnaît Carl Medjani. Et si la responsabilité reposait essentiellement sur certains joueurs, à l’image de Bensebaïni et Mandi, il n’en demeure pas moins que les autres compartiments, comme le milieu de terrain, n’ont pas joué pleinement leur rôle, notamment dans la récupération, le pressing sur le porteur du ballon et la relance. Boukhenchouche et Bentaleb n’étaient pas dans le coup. Et ce n’est pas la première fois qu’ils passent à côté de leur sujet. Le sélectionneur national s’entêtait à les faire jouer d’entrée, comme il le faisait avec Chaouchi. Madjer n’a pu trouver la bonne formule et les joueurs qu’il faut pour redresser la situation. Jeudi, il aurait ainsi dirigé son dernier match à la tête des Verts. Il a eu au moins le mérite de protéger ses joueurs après cette lourde défaite en déclarant : «Je remercie les joueurs qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes.»

Equipe nationale : La Fédération a tourné la page Madjer

Les jours de Rabah Madjer à la tête de l’équipe nationale sont comptés. Il ne survivra pas à la défaite (0-3) contre le Portugal. Des sources proches de la Fédération algérienne de football (FAF) indiquent qu’«il a consommé son crédit aprè
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Equipe nationale : La Fédération a tourné la page Madjer

Les jours de Rabah Madjer à la tête de l’équipe nationale sont comptés. Il ne survivra pas à la défaite (0-3) contre le Portugal. Des sources proches de la Fédération algérienne de football (FAF) indiquent qu’«il a consommé son crédit après le match de Lisbonne, au cours duquel l’équipe nationale a montré un mauvais visage, une fois de plus». D’ailleurs, selon gorge profonde, la fédération est en réflexion (avancée) sur le profil du futur sélectionneur qui, a priori, sera un coach étranger. Nul doute qu’une short liste sera établie dès les prochains jours. Selon la même source, aucune décision ne devrait être prise au moins avant la fin du premier tour de la Coupe du monde Russie 2018. Des sélectionneurs en partance à la Coupe du monde qui s’ouvrira dans quelques jours ne seront plus en poste avant la fin de la compétition. Il n’est pas exclu que le président de la fédération, Kheireddine Zetchi, saisisse l’opportunité de sa présence au pays de Poutine pour nouer des contacts avec des agents qui s’occupent des entraîneurs. La fin de la collaboration FAF-Madjer peut être aussi signifiée par le sélectionneur lui-même, et ce, dans les tout prochains jours. Il a cette opportunité de sortir dignement sans encaisser le choc d’un renvoi prononcé par la fédération. Partir de son proche chef serait une belle porte de sortie pour Rabah Madjer soumis à une pression terrible depuis sa prise de fonction. Face à la tournure prise par les événements, le rejet dont il fait l’objet d’une partie de l’opinion a atteint un point de non-retour au point d’embarrasser la fédération et même des joueurs chahutés au stade du 5 Juillet. Pour Rabah Madjer, continuer à diriger les Verts est devenu une mission impossible comme il l’a du reste constaté au cours des 3 derniers matchs amicaux disputés et perdus contre 3 mondialistes (Iran, Arabie Saoudite, Portugal). La fédération dispose de quelque 6 semaines au maximum pour trouver un successeur à Rabah Madjer afin de préparer la sortie officielle contre la Gambie en septembre prochain, dans le cadre des éliminatoires de la CAN-2019 du Cameroun. Décision au plus tard le 24 juin Deux options se posent à elle en matière de calendrier. Réunir rapidement un bureau fédéral extraordinaire pour trancher l’avenir du sélectionneur et accélérer les contacts avec les coachs susceptibles de driver les Verts à partir de la fin de l’été 2018. Sinon attendre la prochaine réunion ordinaire du bureau fédéral prévue le 24 juin pour trancher cette question. Echaudé par l’épisode Lucas Alcaraz, le président de la fédération veut que l’ensemble des membres du bureau fédéral soient associés au choix du futur sélectionneur. Pour rappel, Kheireddine Zetchi avait sollicité l’accord des membres du bureau fédéral pour entamer les négociations avec l’Espagnol. Il a reçu le feu vert de leur part et quand l’affaire a pris une mauvaise tournure, il n’a pas senti une forte solidarité de leur part. Le président ne veut plus vivre ces mêmes affres. Donc au plus tard le 24 juin, la FAF annoncera l’ouverture de la procédure de contacts avec des entraîneurs étrangers. La piste d’un entraîneur algérien pour succéder à Rabah Madjer paraît exclue dès le départ, même si le nom de Rabah Saâdane est revenu avec insistance ces derniers jours. Gorge profonde penche pour «le choix très rapidement d’un successeur à Rabah Madjer. L’option d’un intérimaire n’est pas d’actualité car cela entraînerait une autre perte de temps. Autant aller vite pour mieux préparer les matchs officiels inscrits au calendrier de la Confédération africaine de football». Entre-temps, Rabah Madjer peut bien annoncer son retrait de la barre technique de l’équipe nationale sans attendre le communiqué de la FAF notifiant sa fin de mission. Dans ce cas, il percevra le montant des mois consignés sur son contrat, qui ne dépasserait pas 3 mois. A charge ensuite pour la fédération d’annoncer la fin de la collaboration dans un communiqué qui ferait la part belle au travail accompli par le sélectionneur et ses collaborateurs. Mais pour l’instant, l’urgence est de trouver un successeur. La Coupe du monde en Russie est un beau terrain de chasse.

Infantino joue son premier Mondial et son avenir

A un an d’un congrès où il jouera sa réélection, Gianni Infantino va vivre, en Russie, son premier Mondial comme président de la Fifa, instance qu’il a engagée sur la voie des réformes. L’ex-bras droit de Platini a frappé un premier grand cou
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Infantino joue son premier Mondial et son avenir

A un an d’un congrès où il jouera sa réélection, Gianni Infantino va vivre, en Russie, son premier Mondial comme président de la Fifa, instance qu’il a engagée sur la voie des réformes. L’ex-bras droit de Platini a frappé un premier grand coup en faisant passer le Mondial de 32 à 48 équipes  dès 2026. «Cela me semble une idée fantastique», avait réagi la légende Diego Maradona. Mais d’autres voix se font entendre. «C’est une tendance historique à diluer la sélection. Avec le Mondial à 48 et des groupes de 3 au premier tour, on fait au 1er tour du politiquement correct», estime ainsi un connaisseur des instances. Cosmétiques «C’est la même philosophie mise en œuvre lorsqu’Infantino était à l’UEFA, qui consiste à rester entre riches et puissants après avoir éliminé les plus faibles tout en prétendant le contraire. Rien n’est fait pour rééquilibrer les écarts, si ce n’est des mesures cosmétiques», ajoute-t-il. Avec un credo qui sonne comme un slogan publicitaire («ramener le football à la Fifa et la Fifa au football»), Infantino a recruté d’anciens joueurs, dont le Croate Zvonimir Boban, et s’affiche régulièrement au côté des «légendes» (Maradona, Trezeguet, Figo...) et s’est entouré d’anciens collaborateurs à l’UEFA, comme le Suédois Mattias Grafström, son plus proche conseiller, ou le Congolais Veron Mosengo, en charge de l’Afrique et des Caraïbes. «Si Blatter avait fait le dixième de ce qu’a fait Infantino depuis son arrivée, la presse anglaise hurlerait», juge un autre familier des instances. Projets contestes Salué pour avoir poussé à l’adoption de l’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR) dès le Mondial russe, Infantino fait beaucoup moins l’unanimité sur deux de ses projets-phares : une Coupe du monde des clubs à 24 équipes (contre 7 actuellement) et une Ligue mondiale des nations tous les deux ans, avec à la clef la promesse de 25 milliards de dollars de revenus portée par un consortium d’investisseurs. Deux projets fortement contestés notamment par l’UEFA. Infantino, cependant, «court-circuite tout le monde en négociant directement avec les clubs», estime un autre spécialiste des instances. «Il a du mal à trouver de nouvelles solutions pour faire entrer plus d’argent», note M. Nally, pour qui la Fifa, avec ses énormes revenus, «n’est pas en danger immédiat mais si elle ne redéfinit pas son image et son marketing, elle pourrait le devenir». Infantino sera également jugé sur la désignation du pays hôte du Mondial-2026, le 13 juin lors du congrès de la Fifa à Moscou. Pour les observateurs, la décision laisse peu d’incertitudes. «Si le Maroc a été admis au vote, c’est qu’Infanto a la certitude que la candidature USA/Canada/Mexique est assurée de l’emporter», assène un bon connaisseur.

Classement FIFA : Le déclin de l’Algérie se poursuit

Avec un total de 474 points, les Verts ont perdu deux points par rapport au dernier classement, mais se maintiennent toujours en onzième position au niveau africain loin derrière la Tunisie (21e), meilleure nation du continent. L’Algérie est égaleme
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Classement FIFA : Le déclin de l’Algérie se poursuit

Avec un total de 474 points, les Verts ont perdu deux points par rapport au dernier classement, mais se maintiennent toujours en onzième position au niveau africain loin derrière la Tunisie (21e), meilleure nation du continent. L’Algérie est également dépassée par le Burkina Faso (52e), le Mali (64e) et le Cap Vert (65e). Elle peut toutefois se consoler d’être toujours devant la Côte d’Ivoire (68e). Malgré le départ de l’ancien premier responsable de la FAF, Mohamed Raouraoua, et son remplacement par Kheireddine Zetchi ainsi que la nomination du technicien espagnol, Lucas Alcaraz, puis de l’actuel sélectionneur national, Rabah Madjer cela n’a pas permis aux Verts d’arrêter leur «glissade». Au lendemain du départ à l’aimable du coach français Christian Gourcuff, au mois d’avril 2016, l’équipe occupait la 33e place du classement FIFA après le nul concédé à Addis-Abeba devant l’Ethiopie sur le score de 3 à 3 pour le compte des éliminatoires de la CAN-2017. L’Algérie est passée de la 39e place à la 57e place en 2017 avant de reculer encore plus à partir du mois de février pour atteindre la 66e position du classement aujourd’hui. Il faudra remonter plus loin dans le temps pour retrouver l’Algérie dans le top 20 des meilleures nations du football mondial. C’est en 2014 que les camarades de Ghoulam ont réalisé le meilleur classement. Au lendemain d’une double confrontation face au Malawi (2-0 et 3-0) pour le compte des éliminatoires de la CAN-2015, l’Algérie a pu se hisser à la 15e place, qui reste le meilleur classement des Algériens. Avant Christian Gourcuff, le Bosnien Vahid Halilhodzic a pu atteindre la 19e place du classement FIFA. En ces temps difficiles pour la sélection nationale, les supporters des Verts sont nostalgiques des performances des camarades de Halliche lors du Mondial-2014, notamment lors du match mémorable de 8es de finale devant le futur vainqueur de trophée, l’Allemagne, malgré la défaite sur le score de 2 buts à 1 après prolongations...  

Match amical : Piètre exhibition des Verts devant les Portugais

La sélection algérienne de Rabah Madjer n’a finalement pas fait le poids, hier, au stade de la Luz à Lisbonne, face au champion d’Europe 2016, le Portugal, en s’inclinant sur le score de 3 buts à 0. D’entrée de jeu, les Algériens avaient comp
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Match amical : Piètre exhibition des Verts devant les Portugais

La sélection algérienne de Rabah Madjer n’a finalement pas fait le poids, hier, au stade de la Luz à Lisbonne, face au champion d’Europe 2016, le Portugal, en s’inclinant sur le score de 3 buts à 0. D’entrée de jeu, les Algériens avaient compris que leur soirée allait être très compliquée. Les coéquipiers du revenant Renaldo ont poussé Benmoussa & Co dans leurs derniers retranchements, les obligeant à dégager le ballon comme ils le pouvaient. Salhi, qui a retardé la sanction, n’a rien pu faire après la reprise de Guedes sur une bonne remise de tête de de Bernando Silva (17’). Même si les Portugais ont levé un peu le pied, ils sont restés les plus menaçants. C’est ainsi sur une accélération, Ronaldo dépose le cuir la tête de Fernandes, qui double facilement le score (39’). En seconde période, les poulains de Madjer se sont effondrés corps et âme en subissant le jeu, concédant une troisième réalisation signée par le buteur du jour, Guedes, de la tête, sur laquelle Salhi n’a rien pu faire (63’). Les Algériens sont restés inoffensifs. En fin de match, le remplaçant Bounedjah s’est signalé en voyant son tir de la tête sortir par le gardien Rui Patricio (88’). L’arbitre anglais a mis fin au supplice des Algériens et du coach Rabah Madjer en sifflant la fin du match. La sortie face au mondialiste portugais a mis à nu des carences inquiétantes. Et avec des prestations comme celle de Lisbonne, même la qualification en phase finale de la CAN-2019 devient utopique, bien qu’elle se jouera entre 24 pays. Le changement continuel de joueurs et de postes a beaucoup contribué dans la piètre exhibition d’hier soir. On citera seulement meilleur passeur de la Ligue 2 française, Ferhat, qui s’est retrouvé dans un rôle de défenseur sans grand succès. Après cette sortie complètement ratée, tous les regards des Algériens seront braqués sur le premier responsable de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, qui devra se prononcer sur l’avenir de Rabah Madjer, que tout le monde annonce partant après la série de mauvais résultats. Les Verts ont concédé leur troisième revers de suite avec l’équipe première : Iran (1-2), Cap Vert (2-3) et la défaite d’hier face au Portugal (0-3). La dernière sortie médiatique du champion d’Europe 1987, lors de la conférence de presse d’avant-match dans laquelle il invitait les journalistes portugais à diffuser l’information au monde entier qu’on voulait le limoger, lui a fait perdre le peu de soutien qu’il avait encore. Et à présent, nombreux sont ceux qui demandent sa tête.  

MC Alger : Chaouchi ne sera pas repêché, Morsli le remplace

L’aventure du portier international Faouzi Chaouchi avec le MC Alger est bel et bien terminée. Annoncé comme éventuellement repêché après la signature de l’autre portier international, Abdelkadir Salhi, à la JSK, alors qu’il avait donné son acco
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MC Alger : Chaouchi ne sera pas repêché, Morsli le remplace

L’aventure du portier international Faouzi Chaouchi avec le MC Alger est bel et bien terminée. Annoncé comme éventuellement repêché après la signature de l’autre portier international, Abdelkadir Salhi, à la JSK, alors qu’il avait donné son accord pour rejoindre le Mouloudia, la direction du MCA, qui a décidé de ne pas faire rempiler Chaouchi, s’est tournée vers le portier de l’Olympique de Médéa, Abdelkader Morsli (22 ans) pour en faire la doublure de Farid Chaâl, le désormais portier n°1 du MCA. En effet, la direction algéroise représentée par son directeur sportif, Kamel Kaci-Saïd, a consenti à débourser la coquette somme de 500 millions pour racheter la libération du jeune portier. Morsli devrait d’ailleurs s’engager dans les prochaines heures. Par ailleurs, la journée de demain sera décisive pour le MCA et pour cause : elle signera d’abord le retour du coach Bernard Casoni, qui devrait parapher son nouveau contrat de deux saisons, comme convenu avec le directeur sportif, à la fin du mois de mai. Casoni devra aussi assurer la séance de reprise des entraînements, programmée à l’Ecole d’hôtellerie et de tourisme de Aïn Benian (18h). Outre ces deux événements, Kaci-Saïd scellera une fois pour toutes l’avenir de deux des derniers cadres sollicités pour rempiler, à savoir Amir Karaoui et Rachid Bouhenna. Si le premier hésite en refusant de voir son salaire considérablement baisser, le second a déjà donné son accord de principe pour renouveler son bail.

ASO Chlef : Zaoui reconduit à la tête de l’équipe

Samir Zaoui a été reconduit à la tête de l’équipe de l’ASO pour une nouvelle saison, avec l’objectif de viser le podium. «La direction du club, à sa tête le président Abdelkrim Medouar, m’a renouvelé sa confiance pour le travail accompli
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ASO Chlef : Zaoui reconduit à la tête de l’équipe

Samir Zaoui a été reconduit à la tête de l’équipe de l’ASO pour une nouvelle saison, avec l’objectif de viser le podium. «La direction du club, à sa tête le président Abdelkrim Medouar, m’a renouvelé sa confiance pour le travail accompli lors du dernier round du championnat écoulé car, comme vous le savez, j’ai pris les rênes de l’équipe vers la fin de la compétition et nous avons quand même obtenu de bons résultats, même si nous avons raté de peu l’accession pour d’autres raisons. Nous avons tout de même tiré la leçon de cette déconvenue et nous allons tout faire cette saison pour faire accéder l’équipe en Ligue 1», nous a indiqué hier le coach des Rouge et Blanc, qui sera secondé dans sa tâche par des techniciens expérimentés, dont les noms n’ont pas été divulgués pour le moment. Contrairement à ses habitudes, la direction du club a préféré cette fois travailler dans la discrétion pour finaliser le recrutement de nouveaux joueurs et «assainir l’effectif en place». «Ce qui est tout à fait normal et logique car tant que nous n’avons pas encore clos le volet recrutement et celui des joueurs à retenir ou à libérer, nous ne pouvons nous exprimer publiquement sur le sujet pour des raisons évidentes. Ce qui est sûr, en revanche, c’est que nous sommes en contacts avancés avec sept joueurs de valeur qui, nous en sommes convaincus, apporteront plus de réussite et de force au groupe la saison prochaine. A ceux-là s’ajouteront certains cadres de l’équipe ainsi que huit jeunes talents, essentiellement des espoirs du club, âgés de 20 et 21 ans», a souligné encore le coach, Samir Zaoui. Il a, par ailleurs, annoncé que la reprise des entraînements s’effectuera juste après les fêtes de l’Aïd El Fitr, soit le 25 juin, au stade Boumezrag, précisant que tout est tracé en matière de préparation et que l’ASO va bénéficier des moyens adéquats afin d’entamer la compétition dans les meilleures conditions possibles. Mais le club a-t-il les moyens (financiers) de sa politique ? Zaoui se veut optimiste sur le sujet, affirmant que le wali de Chlef, Abdellah Mansour, s’est engagé encore une fois à apporter le soutien moral et financier nécessaire à l’équipe en vue de l’aider à retrouver sa place parmi l’élite du football national. «Le chef de l’exécutif de wilaya, que je remercie vivement à l’occasion, nous a exprimé, une nouvelle fois, soutien appuyé sur tous les plans, en espérant que le club phare de la région accédera en Ligue 1 la saison prochaine», a indiqué, confiant, l’entraîneur de l’ASO.  

Les Verts en quête de rachat

L’équipe nationale de football affrontera aujourd’hui, à Lisbonne, le Portugal, dans une rencontre qui, bien qu’amicale, sera toutefois soumise, du côté algérien bien sûr, à de fortes pressions. Après la «défaite-surprise» de vendredi dern
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Les Verts en quête de rachat

L’équipe nationale de football affrontera aujourd’hui, à Lisbonne, le Portugal, dans une rencontre qui, bien qu’amicale, sera toutefois soumise, du côté algérien bien sûr, à de fortes pressions. Après la «défaite-surprise» de vendredi dernier, au stade du 5 Juillet à Alger, face au Cap-Vert (2-3), d’acerbes critiques ont fusé au sujet des choix et stratégies de jeu du sélectionneur national, Rabah Madjer. Ce dernier est même annoncé «partant». Dans tous les cas de figure, membres du staff et joueurs tenteront certainement de se racheter auprès d’un public qui devient de plus en plus défiant. Une mission difficile face au champion d’Europe en titre et candidat pour le sacre final du Mondial qui débutera dans une semaine. En tout cas, le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, a annoncé hier qu’une réunion le regroupera avec le sélectionneur national après son retour en Algérie. C’est à partir de là, a-t-il déclaré, que le sort du staff se décidera. Pour en revenir à la préparation de ce rendez-vous, à l’arrivée de la délégation algérienne à Lisbonne, avant-hier, Rabah Madjer donnait l’air d’être décontracté et n’était concentré que sur le prochain match. Si à leur premier jour au Portugal, la séance d’entraînement, qui s’est déroulée au stade national de Jamor, une enceinte sportive réservée aux finales de la coupe du Portugal, a été dédiée essentiellement à la récupération et au renforcement musculaire, en raison de la fatigue, comme signalé par la FAF, hier, Brahimi et ses coéquipiers se sont entraînés sur la pelouse de l’Estádio do Sport Lisboa e Benfica, qui accueillera aujourd’hui la rencontre. Selon des informations, Rabah Madjer compte apporter quelques changements dans le onze entrant, à commencer par le poste de gardien de but. Celui-ci sera confié, selon toute vraisemblance, à Salhi qui remplacera ainsi Chaouchi. Medjani, Bennacer et Slimani auront de fortes chances d’êtres titularisés. Côté portugais, il semblerait que Cristiano prendra part à cette rencontre. Selon des informations, seul le joueur de Manchester City, Bernardo Silva, légèrement blessé, pourrait rater cette empoignade qui est la dernière pour la sélection portugaise avant l’entame de la Coupe du monde. Le Portugal est dans le groupe B en compagnie de l’Espagne, du Maroc et de l’Iran. Il faut noter par ailleurs que c’est l’arbitre anglais Craig Patson qui sera au sifflet. Il sera assisté de ses deux compatriotes Lee Betts et Ian Hussin. L’arbitrage vidéo sera appliqué lors de ce match. L’Algérie prépare les éliminatoires de la CAN-2019 qui reprendront au mois de septembre prochain avec un déplacement à Banjul (Gambie). Les Verts ont remporté leur premier match qui a eu lieu en juin 2017 face au Togo (1-0). La quatrième équipe du groupe est le Bénin.  

Abdenour Kaoua : «Kiki», le gardien volant

Abdenour Kaoua est l’un des gardiens les plus titrés du football algérien. A 69 ans, il a de quoi être fier de son parcours de joueur. Il détient l’un des plus beaux palmarès comme gardien de but. Avec son club, le MC Alger, il a été 5 fois cham
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Abdenour Kaoua : «Kiki», le gardien volant

Abdenour Kaoua est l’un des gardiens les plus titrés du football algérien. A 69 ans, il a de quoi être fier de son parcours de joueur. Il détient l’un des plus beaux palmarès comme gardien de but. Avec son club, le MC Alger, il a été 5 fois champion d’Algérie (1972-1975-1976-1978-1979), a remporté 3 coupes d’Algérie (1971-1973-1976), 2 coupes du Maghreb des clubs vainqueurs de coupe (1972-1974), 1 coupe du Maghreb des clubs champions (1976) et une coupe d’Afrique des clubs champions (1976). Abdenour Kaoua est né le 14 juin 1949 à Alger. Dès le début de sa carrière, il a opté pour le poste de gardien de but en raison de ses aptitudes physiques (il était grand pour son âge) et techniques avec une souplesse et une agilité qui n’ont pas échappé à l’entraîneur des pupilles à l’AS Saint Eugène (plus tard Bologhine), M. Izzo, qui l’a fait beaucoup travailler. En 1962, Abdenour quitte l’Algérie à l’âge de 13 ans et poursuit sa juvénile carrière au sein d’un club parisien, l’AS Fontenay, qui évolue en championnat de ligue parisienne. Il revient en Algérie en 1966 et signe au MC Alger entraîné à l’époque par Hadj Fouilla, secondé par Ahmed Aggoun. Les deux hommes ont été joueurs au club. Rapidement «Kiki» prend du galon, étoffe son jeu sur la ligne et décroche la confiance des grands entraîneurs qui se sont succédé à la tête du Doyen, à l’instar des regrettés Smail Khabatou et Mustapha El Kamel, des éducateurs hors pair  qui ont formé et lancé de nombreux joueurs au MCA et ailleurs. Son heure de gloire ne tardera pas à sonner. Vers la fin des années 1960 les dirigeants mouloudéens décident de rajeunir l’effectif et de lancer les jeunes qui piaffaient d’impatience d’enfiler le maillot aux couleurs historiques. Abdenour Kaoua fait partie des nombreux jeunes promus en seniors avec Betrouni, Zenir, Bachi, Bousri... encadrés par quelques anciens, dont Hassan Tahir qui écriront en lettres d’or l’histoire du Mouloudia. La décennie 1970 fut celle du MC Alger comme l’atteste le riche palmarès du club durant cette période. Entre 1968 et 1979, Abdenour Kaoua a disputé plus de 260 matchs avec le MCA qui a décroché durant cette période 12 titres, dont le plus glorieux reste la Coupe d’Afrique des clubs champions en 1976 contre Horoya Conakry (Guinée). L’exploit du MCA restera dans les annales. Battus 0-3 à l’aller avec l’aide et la complicité de l’arbitre, au match retour les joueurs algériens ont remonté le lourd handicap et se sont imposés aux tirs au but. «Kiki» a joué un grand rôle dans l’extraordinaire parcours du MCA en Coupe d’Afrique. A lui seul, il a freiné le Ahly du Caire en Egypte, où il a réalisé le plus beau et plus grand match de sa carrière. Il s’est opposé avec brio à toutes les tentatives des attaquants égyptiens. Le 0-0 arraché au Stadium du Caire a ouvert la voie du sacre au Mouloudia. L’autre exploit, inscrit au palmarès de Abdenour Kaoua et qui n’est pas près d’être égalé, est sans conteste le but qu’il a inscrit en finale de la coupe d’Algérie contre l’USM Alger (4-2) le 19 juin 1973 au stade du 5 Juillet. Au départ du match, il était remplaçant. Smail Khabatou lui avait préféré Mohamed Aït Mouhoub. Les circonstances du match ont fait le reste. Au début de la prolongation, le regretté Aissa Draoui quitte le terrain sur blessure. A l’époque, il y avait deux remplaçants autorisés à inscrire sur la feuille de match. Khabatou avait déjà utilisé Azzouz en remplacement de Aizel. Après la sortie de Aissa Draoui, il ne restait que Abdenour Kaoua comme dernier remplaçant. Il a troqué son maillot de gardien contre celui de joueur de champ et s’est positionné en attaque. En prolongation, il marque un but (96’) et donne l’avantage au MCA (2-1). Un fait unique dans les annales des finales de la coupe d’Algérie. En parallèle à sa carrière en club, il a été à maintes reprises retenu en équipe nationale, où il a côtoyé les plus grands joueurs des années 1960-1970, à l’instar de Lalmas, Seridi, Attoui, Fréha, Tahar, sans oublier les coaches Khabatou, Abderrahmane Ibrir, Rachid Mekhloufi, Said Amara, Makri …   Après sa carrière de joueur, «Kiki» s’est orienté vers celle d’entraîneur en club et en sélection.  

CAN-2018 dames : Les Algériennes en quête d’un exploit

La sélection nationale féminine de football disputera aujourd’hui à 22h au stade du 5 Juillet (Alger), contre l’Ethiopie, le match aller des éliminatoires de la CAN-2018 féminine qui aura lieu au Ghana du 17 novembre au 1er décembre. Les protég
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CAN-2018 dames : Les Algériennes en quête d’un exploit

La sélection nationale féminine de football disputera aujourd’hui à 22h au stade du 5 Juillet (Alger), contre l’Ethiopie, le match aller des éliminatoires de la CAN-2018 féminine qui aura lieu au Ghana du 17 novembre au 1er décembre. Les protégées de Azzedine Chih, qui ont réussi à passer brillamment l’écueil des Sénégalaises, cherchent à faire de même face à la sélection d’Ethiopie, qui reste un gros morceau. En effet, au tour précédent, l’adversaire de l’Algérie a atomisé la Libye sur un score fleuve en aller et retour (8-0, 7-0). La performance des Ethiopiennes renseigne sur la qualité de l’équipe et de ses joueuses. Les camarades de Rahma Benaichouche, qui a marqué le deuxième but face au Sénégal, doivent être très vigilantes et bien concentrées pour éviter toute surprise. L’équipe qui se trouve en regroupement à Sidi Moussa depuis le 29 mai, a effectué lundi et hier des séances d’adaptation sur la pelouse du 5 Juillet au cours desquelles le sélectionneur national, Azzedine Chih, devrait mettre en place la tactique à adopter contre l’Ethiopie, ainsi que le onze probable qui débutera la rencontre. Le match d’aujourd’hui sera dirigé par un trio d’arbitres gambien, composé d’Issa Touray, laquelle sera assistée de ses deux compatriotes Abbie Lesay et Jainaba Manneh. Le match retour, prévu quatre jours plus tard (le 10 juin à 16h locales, 14h algériennes) à Addis-Abeba, sera dirigé par des arbitres tunisiennes, conduites par Dorsaf Ganouati, assistée de sa compatriote Afina Houda et de l’Egyptienne Mona Mahamoud Atallah.

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